Trevor Horn, (producteur) né le 15 juillet 1949 à Durham en Grande Bretagne.
Anne Dudley, (clavier) née le 7 mai 1956 à Chatham en Grande Bretagne
J-J Jeczalik, (programmateur) né le 11 mai 1955 à Banbury en Grande Bretagne
Gary Langan, (ingénieur du son) né le 19 avril 1956 en Grande Bretagne
Fondé en Grande Bretagne 1983, The Art of Noise innove un an plus tard avec un premier single truffé d'effets spéciaux Beatbox, une idée du producteur Trevor Horn (le pendant d'un Phil Spector pour la musique électronique). C'est Trevor Horn qui créé The Art Of Noise, avec la claviériste et productrice Anne Dudley, le programmateur JJ Jeczalik, et l'ingénieur du son Gary Langan.
Amateur de métissage (de la musique Ambient à la musique contemporaine en passant par la Dance) The Art of Noise à souvent attiré des invités sur ses compositions, du guitariste Duane Eddy au Crooner Tom Jones.
La création de ce collectif est à l'initiative de Trevor Horn qui à déjà laisser quelque traces dans la musique Britannique des années 80.
En effet, vers la fin des années 70, c'est avec Geoff Downes qu'il créée les Buggles, et sort le tube Video Killed The Radio Star.
Le duo, fan du groupe Yes, fusionnera avec celui-ci le temps d'une tournée, puis Horn retournera à la production, notamment pour le groupe Dollar et pour l'album The Lexicon Of Love de ABC.
En 1983 il fonde le label ZTT.
Un deuxième disque vraiment remarquable, pour un groupe qui porte bien son nom.
Difficile de mettre une étiquette sur la musique de The Art Of Noise... new wave, rock expérimental et techno-pop... ?
Les synthés, marque de fabrique de nombreuses expérimentations du début des années 80, sont omni-présents sur ce premier vrai album du groupe.
Images issues des quelques concerts de 2000.
A is for ...
Something is missing
Born on a Sunday
Moments in love
Rapt : in the evening air
Metaforce
On being blue
Il pleure (at the turn of the century)
Beat box
Peter Gunn
Information
Il pleure (reprise)
La flute de pan
Dreaming in colour
La grande aventure musicale du XXème siècle, la musique électronique, point commun entre Daft Punk, Public Enemy, Giorgio Moroder ou Brian Eno...
"En intégrant dans leur musique les bruits de la ville, en trafiquant le cœur de leurs machines, en plongeant tête la première dans des univers mystérieux, en réactivant des rituels oubliés et en s’imaginant de nouvelles identités, ces musiciens se sont ouverts à l’idée que la machine, supposée nous déshumaniser, peut très bien, en réalité, nous rendre plus humains."